| | Je n'ai pas besoin de titre. | |
| Auteur | Message |
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Celui qui sait tout Ethan T. Wilson
Messages : 78 Emploi/loisirs : Apprendre, écrire, faire chier...
| Sujet: Je n'ai pas besoin de titre. Lun 12 Aoû - 21:54 | |
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•• ethan thot WILSON •• •• Dieu égyptien du savoir et du temps •• âge •• Des milliers d'années (apparence de 27 ans)pouvoirs •• Cerveau surdéveloppé (capacités surnaturelles de réflexion, compréhension et mémorisation; complication des intrusions psychiques), contrôle du temps (...), , télépathie (lire les pensées immédiates des gens à proximité)qualités •• Ouvert d’esprit, à l’écoute des autres, posé, ponctuel, patientdéfauts •• vantard et pompeux habitudes •• écrire, avoir les mains dans les poches, se croire supérieur, fumer, utiliser son gros cerveau, détester les gens stupides, se mettre en valeurapparence •• de grandeur moyenne, cheveux bruns bouclés, souvent une barbe oubliée plusieurs semaines, yeux brun foncé_________________________________________
QUI ES-TU? J’étais planté en plein milieu de Central Park et je m’extasiais de voir la vie autour de moi. L’entrevue que je venais de finir de donner avait été magique, parfaite, bref, à ma hauteur. Je regardais donc les gens défiler, en me mêlant à la foule et avais l’impression de marcher sur des nuages. Je ne pouvais pas m’ennuyer ici. New-York était exactement à la hauteur de mes attentes. J’avais tout ce que je voulais, encore plus facilement qu’avant. Avec les siècles, j’avais presque fini par trouver le temps long. De tout savoir et de tout comprendre pouvait vraiment finir par être lourd et ennuyant. Si cela ennuyait les gens qui m’entouraient, imaginez à quel point c’était lassant pour moi… Mais maintenant, avec toutes les recherches, les nouvelles découvertes quotidiennes, et, surtout, la technologie omniprésente, il n’y avait plus moyen de s’ennuyer. Je pouvais donc rapidement trouver des gens se rapprochant de mon niveau intellectuel et être en contact avec eux pour discuter à tout moment. Et, si jamais j’avais plus besoin de rencontres purement libidineuses et libertines, c’était également très facile d’en trouver. Filles ou garçons, tant qu’ils savaient faire au moins une rime, je craquais. Mais les choses n’allaient jamais plus loin que cela. Je ne croyais plus en l’amour. Cela faisait longtemps que j’avais compris que c’était le pire des poisons et que cela ne servait à rien. À quoi bon se donner corps et âme, se dévouer, se dévoiler, se mettre à nue et à vif pour finalement se faire jeter comme un vulgaire mouchoir? Les gens étaient tous des hypocrites, des menteurs et des égoïstes. Ils n’étaient jamais sincères et cachaient toujours leurs vraies émotions et leurs vrais visages. Ils n’étaient pas dotés de sentiments positifs et ne pouvaient pas non plus aimer leur prochain. S’ils étaient en couple, ce n’était pas pour être aimé, mais pour bien paraître, en attendant la prochaine personne qui les ferait mieux paraître. Et quand ils la trouvaient, ils n’hésitaient même pas une seconde et foutait tout en l’air pour la nouvelle conquête. Que cela fasse des jours, des mois ou des années de vie de couple, ils faisaient tout valser parce que la nouvelle personne les faisait sentir plus beaux et plus jeunes, mais ils ne pensaient pas au mal qu’ils faisaient derrière eux. Toutes les histoires d’amour avaient une fin, généralement tragique et douloureuse et personne ne s’en sortait indemne. Avec le temps, j’avais compris que la chose qui détruisaient encore plus durement que la guerre, c’était l’amour, alors très peu pour moi! Les deux seules personnes que je m’étais permis d’aimer depuis plusieurs siècles étaient moi-même et l’écriture. Parce que oui, c’est une personne. Quand on est un homme de lettres et d’influence aussi important que moi, l’écriture devient vivante. Et ici, seulement les gens qui partagent mon amour pour la littérature pourront comprendre ce que je veux vraiment dire… L’écriture est une amie, elle est tout! Elle nous parle, nous fait vivre, nous porte, nous élève, nous transporte. Elle nous permet d’être libres, de rire, de pleurer, de chuchoter, de crier. Nous pouvons dire tout haut ce que nous pensons tout bas, être laid, être beau, aimer inconditionnellement, être immortel, trouver des raisons de continuer, s’extérioriser, s’exorciser. L’écriture est sans limites, sans règles, sans rancune, sans couteau à nous planter dans le dos. L’écriture est alors bien réelle et, souvent, notre seule alliée…
Mes pas m’avaient finalement conduit tout près d’un banc, où je finis par m’asseoir, toujours avec cet air satisfait sur le visage. Au fil des siècles, j’avais pu avoir plusieurs conversations intéressantes avec plusieurs grands de ce monde. J’avais voyagé, m’étais ouvert l’esprit, j’avais découvert de nouvelles cultures, des nouvelles sciences… Certaines langues m’avaient donné un peu plus de fil à retordre, comme le mandarin, mais j’avais finis par y arriver. Je finis toujours par y arriver. Mais bon… revenons à ces gens d’influence qui avaient croisé ma route. Et la liste était longue : Marylin Monroe, Einstein, Hitler, Staline, Marie Curie, Agatha Cristie, Audrey Hepburn, Charlie Chaplin, Elvis Presley, Shakespeare, Molière, Darwin, Boris Vian, les frères Lumière, Coppernic, Ali, Newton, Jane Goodhall, Oprah, Barack Obama… Parfois, je me demandais si c’était eux qui avaient eu une influence sur moi ou si c’était moi qui avais eu une influence sur eux. J’avais de la difficulté à me rappeler, par exemple, si j’avais été rendre visite à Gandhi avant ou après qu’il devienne un si grand sage… Et, comme je contrôlais le temps, il arrivait que je l’arrête trop longtemps, lancé dans une conversation palpitante et voulant la finir avant un autre rendez-vous, par exemple, pour ensuite pouvoir seulement retourner à cette époque. Je devais alors me fier à mes souvenirs et mes impressions. Sans vouloir me vanter, je crois sincèrement que ce qui avait aussi grandement influencé Gandhi, eh bien c’était moi! Nous avions discuté pendant des heures, avions philosophé et échangé sur l’importance de la spiritualité… J’avais arrêté le monde extérieur pendant quelques semaines, au moins, le temps qu’on aille au bout des choses et qu’on termine notre discussion. Si Gandhi, lui, avait fini par m’écouter et suivre mes savants conseils, ce n’était pas le cas de beaucoup des autres avec qui j’avais discuté, Hitler, par exemple, ou, plus récemment, les plus influents médecins. C’est certain que même les plus grands chercheurs ne faisaient pas encore confiance à quelqu’un qui leur disait comment essayer de commencer à trouver un réel moyen de stopper la propagation du cancer, surtout quand cette personne avait l’air de la fin vingtaine, fumait et ne faisait qu’écrire des livres de sa vie… je les comprenais trop bien!, mais essayer de les convaincre de le faire et débattre avec eux de la légitimité de nos arguments respectifs était très intéressant. Cela me nourrissait, cela me faisait vivre. Je voulais toujours me dépasser, aller au bout des choses et impressionner. Parfois, mais ce n’était pas arrivé souvent, les chercheurs me surprenaient avec telle ou telle découverte, mais la surprise ne durait jamais longtemps, parce qu’une cloche au fond de moi sonnait et me disait que je le savais déjà.
Donc, la technologie rendait le contact et le partage de connaissances beaucoup plus facile, me permettant enfin de me mesurer à des gens un minimum cultivé, parce qu’avouons-le, comparé aux gens de l’Antiquité ou du Moyen-âge, les gens aujourd’hui étaient très intelligents! Mais surtout, ce qui faisait en sorte que je ne m’ennuyais pas était que je pouvais désormais facilement mettre la main sur les anciens papyrus que j’avais égarés, à l’époque, grâce à une bibliothèque virtuelle en ligne. C’était fabuleux! Quoi de mieux que de lire les choses merveilleuses, poussées et utiles que j’avais écrites jadis? Bon, d’accord, peut-être lire ce que j’écrivais maintenant…
Je ne m’ennuyais pas non plus de mes camarades égyptiens ici. Bien sûr, je sais que quelques uns d’entre eux avaient réussi, tout comme moi, à traverser la brèche. Par contre, je ne les trouve pas vraiment intéressants. Leurs discussions tournent en rond et finissent généralement en combat de coq à savoir qui est le plus ceci ou cela. Personnellement, j’ai toujours reçu un grand respect de leur part. Ils ont rapidement compris que je leur étais supérieur et ont décidé de laissé les choses ainsi, plutôt que d’essayer de me rabaisser. C’était comme s’ils avaient compris, sans que je n’ai rien à dire, que cela ne leur servirait à rien. Ma supériorité triomphe toujours, mais c’est toujours plus plaisant quand on lui laisse la voie libre. J’ai depuis ma tendre enfance tout su et tout contrôler, c’était venu tout seul, sans que je force quoi que ce soit. Je n’ai pas eu besoin de faire beaucoup d’études et encore moins de prouver que je méritais cette place au sommet de la pyramide. Bien que les dieux égyptiens soient techniquement tous au même niveau, je considère que certains méritent plus leur place et leur titre et, bien sûr, je suis celui qui le mérite le plus. Les gens ont besoin de cet être super intelligent, qui a réponse à tout, qui sait tout, connait tout et contrôle toutes les sciences. Après tout, j’avais inventé l’écriture, ce qui avait été une des plus grandes inventions de tout les temps et qui permettait, encore maintenant, aux gens de communiquer entre eux. Ce n’est pas parce que les gens massacraient maintenant leur langue respective avec les SMS et les e-mails que je n’avais pas fait un des plus grands pas de l’histoire de l’humanité en communication. J’avais également été le premier à contrôler la lune et les étoiles, à faire en sorte que les cycles lunaires servent à quelque chose et qu’ils arrivent selon un ordre logique. On me devait tellement… Je méritais donc tous les honneurs. Cela ne servirait à rien de se mettre la tête dans le sable, le mieux c’était d’avouer que j’étais supérieur et surtout, ne pas hésiter à le répéter aussi souvent que possible! Une autre déesse, Séshat, avait, à l’époque, su reconnaître rapidement ma supériorité. Nous avions eu une relation, une aventure plutôt intéressante. Non pas qu’elle me nourrissait sérieusement intellectuellement, mais disons que nos pouvoirs, nos buts et nos corps fusionnaient à merveille. J’avais adoré être le deuxième pharaon d’Égypte, le premier successeur d’Horus et le meilleur aussi. Avec Séshat à mes côtés, je me sentais comme le roi du monde et je l’étais littéralement. J’avais tout le monde à mes pieds. Mes pairs me respectaient, les peuples me vénéraient, j’avais une compagne merveilleuse. Malheureusement, j’avais fini par perdre le contact. Mes rêves de plus grande reconnaissante et de plus grande visibilité, mon besoin d’être aimé et adulé sans cesse, avait fait en sorte que j’avais quitté l’Égypte. De toute façon, le pouvoir et l’importance des Dieux commençaient à perdre de leur importance, et donc, je l’ai laissée derrière. J’ai su, dès que la crise de la brèche avait commencé, qu’elle ne pourrait pas y arriver. Séshat n’avait pas traversé la brèche, elle était restée dans la pyramide céleste des Dieux oubliés et y était morte. Étrangement, cela ne me faisait rien. J’avais depuis longtemps coupé les ponts avec ceux de ma race, pour mon bien-être personnel. Je considérais qu’ils me faisaient stagner, tout simplement. La seule chose qui me rattachait réellement de cette époque révolue était le fameux « Oudjat » d’Horus, cet œil que je lui avais permis de retrouver après un de ces combats avec Seth et qu’il avait fini par me donner. Cette amulette me portait chance et me rappelait sans cesse que j’étais un gagnant. Quand je l’avais reçu, je n’avais aucunement douté de ses pouvoirs. Horus ne m’airait jamais menti, encore moins refilé quelque chose de toxique pour moi. Dès lors, je croyais que l’amulette me portait chance, qu’elle écartait le mauvais œil, puisque c’était la preuve ultime que l’ordre triomphe toujours sur le chaos. Par contre, depuis plusieurs décennies, je croyais qu’il avait perdu ses pouvoirs. Bien sur j’étais encore excessivement chanceux, ma vie était parfaite parce que j’étais moi-même au centre de celle-ci, mais je ne sentais plus cet effet magique et hypnotisant provenir de mon « Oudjat »… Peut-être que parce que les gens ont cessé de croire en nous, en Horus surtout, cela avait retiré ses pouvoirs à mon amulette. Je ne pouvais pas me l’expliquer, mais je sentais une nette différence dans ce qu’elle dégageait. Je la portais toujours, je ne la quittais pas. Seulement, je la portais maintenant plus comme souvenir que comme réelle protection. Cela me faisait tout drôle, mais un grand homme m’avait un jour dit qu’il fallait toujours se rappeler d’où on venait pour savoir où on allait.
Je finis par quitter le parc et héler un taxi pour retourner chez moi, dans mon vaste condo luxueux du quartier Gaia. En m’y arrêtant quelques secondes en chemin, je remarquais que j’étais vraiment bien. J’avais besoin de découvertes, de rencontres et surtout d’intelligence. J’avais besoin de vivre, de bouger, d’avancer. J’avais besoin de moi. Et de personne d’autre! •• hors jeu •• pseudo •• Sherlocked comment avez-vous découvert le forum? •• Je sais tout, ne suis-je pas le dieu du savoir? qui est la personnalité sur l'avatar de votre personnage? •• James Franco code du règlement •• Validé par Kyle code de la section des groupes et pouvoirs •• Validé par KyleCrédits pour les images: ta mère
Dernière édition par Ethan T. Wilson le Jeu 3 Oct - 10:10, édité 4 fois |
| | | Chloe H. Harrisson
Messages : 606 Emploi/loisirs : Mannequin et designer
| Sujet: Re: Je n'ai pas besoin de titre. Lun 12 Aoû - 21:55 | |
| Bienvenue! Je valide tes codes. |
| | | Blue_Krait Drake Varner
Messages : 697 Emploi/loisirs : Informaticien, espion à son compte, grand enfant
| Sujet: Re: Je n'ai pas besoin de titre. Lun 12 Aoû - 21:59 | |
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| | | Nichole Harvelle
Messages : 356 Emploi/loisirs : Médecin-résidente, activiste, pianiste
| Sujet: Re: Je n'ai pas besoin de titre. Lun 12 Aoû - 22:02 | |
| Bienvenue! |
| | | Miss Univers Gabrielle V. Englebert
Messages : 1171 Emploi/loisirs : PDG, actionnaire majoritaire et fondatrice de Venus Industries Inc.
| Sujet: Re: Je n'ai pas besoin de titre. Mar 13 Aoû - 9:17 | |
| Bienvenue bel homme |
| | | La reine sans couronne Elisa H. Gibson
Messages : 401 Emploi/loisirs : Ministre
| Sujet: Re: Je n'ai pas besoin de titre. Mar 13 Aoû - 9:29 | |
| Bienvenue au premier représentant de l'Égypte! |
| | | Ezra T. Colfer
Messages : 217 Emploi/loisirs : Réceptionniste au poste de police
| Sujet: Re: Je n'ai pas besoin de titre. Mar 13 Aoû - 9:38 | |
| vantard et pompeux , ça promet! Bienvenue. |
| | | Celui qui sait tout Ethan T. Wilson
Messages : 78 Emploi/loisirs : Apprendre, écrire, faire chier...
| Sujet: Re: Je n'ai pas besoin de titre. Mar 13 Aoû - 13:48 | |
| Drake, je ne suis pas si facile, moi. Nichole, Gabrielle, Elisa, merci mesdames. Ezra, merci, moi aussi je trouve! Bref, merci de votre accueil... Que mon règne commence! |
| | | Blue_Krait Drake Varner
Messages : 697 Emploi/loisirs : Informaticien, espion à son compte, grand enfant
| Sujet: Re: Je n'ai pas besoin de titre. Mar 13 Aoû - 13:53 | |
| Ce n'est qu'une question de temps. - Spoiler:
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| | | Milda Carter
Messages : 162 Emploi/loisirs : Cuisinière à la prison, étudiante en sciences à l'Université de New York
| Sujet: Re: Je n'ai pas besoin de titre. Mar 13 Aoû - 15:52 | |
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| | | James L. Hamilton
Messages : 264
| Sujet: Re: Je n'ai pas besoin de titre. Mar 13 Aoû - 23:15 | |
| Bienvenue...les dieux égyptiens sont-ils plutôt du côté des divinités nordiques ou grecques, dans un cas de euhm...guerre? (Elisa me fait chier.) |
| | | Little Red Riding Wolf Miko Snøhvit
Messages : 87 Emploi/loisirs : Étudiante, réceptionniste et fêtarde
| Sujet: Re: Je n'ai pas besoin de titre. Jeu 19 Sep - 11:00 | |
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| | | Deborah Lackey
Messages : 132
| Sujet: Re: Je n'ai pas besoin de titre. Mar 1 Oct - 14:32 | |
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| | | Celui qui sait tout Ethan T. Wilson
Messages : 78 Emploi/loisirs : Apprendre, écrire, faire chier...
| Sujet: Re: Je n'ai pas besoin de titre. Jeu 3 Oct - 10:01 | |
| Merci encore pour votre accueil! Ma fiche est enfin finie! :coeur: |
| | | Everybody's Fool Cameron Evans
Messages : 1263 Emploi/loisirs : Assistant de Mme Holmes
| Sujet: Re: Je n'ai pas besoin de titre. Jeu 3 Oct - 19:15 | |
| Bienvenue! (Et dire que je ne t'avais même pas souhaité la bienvenue!) Je te valide avec joie! Je te dirais bien que tu es fantastique mais, de ce que je lis, tu le sais déjà! Donc, tu cliques ici pour te demander: un rangun lieu où habiterun emploiPour créer ta fiche de liens, c'est ICIPuis, pour ta fiche de sujets ICI |
| | | Celui qui sait tout Ethan T. Wilson
Messages : 78 Emploi/loisirs : Apprendre, écrire, faire chier...
| Sujet: Re: Je n'ai pas besoin de titre. Jeu 3 Oct - 22:41 | |
| Merciiii!!! Et, Cameron, saches que, même si je le sais, j'ADOOOOORE l'entendre de la bouche des autres! |
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Messages : 378 Emploi/loisirs : Prof. d'histoire de l'art
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| Sujet: Re: Je n'ai pas besoin de titre. | |
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| | | | Je n'ai pas besoin de titre. | |
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