Milena P. Nereth
Messages : 104 Emploi/loisirs : Psychiatre criminologue / Cueillir des âmes
| Sujet: Succombez à la splendeur des Enfers ! Dim 22 Fév - 19:10 | |
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•• Milena Proserpine NERETH •• •• Déesse romaine •• âge •• Trop de millénaires pour s’en rappeler, apparence d’une jeune fille de 23 ans environ.pouvoirs •• Corps brûlant (Le corps de Proserpine peut devenir plus chaud que de la lave en fusion – et prendre alors la meme apparence toute craquelée, noirâtre et traverse de souffre. L’utilisation de ce pouvoir peut avoir des conséquences assez dangereuses sur tout ce qui l’entoure.) Passage Enfer/Terre (Il lui est possible de circuler facilement entre les deux mondes, elle y est tout naturellement connectée. Esclaves fantômes (Son précédent pouvoir à l’avantage de lui permettre de rester liée à ses serviteurs fantomatiques - des hommes dont elle a pris les âmes - et qui lui servent de garde du corps invisibles. Seules les personnes connectées d’une manière ou d’une autre avec le monde de l’au-delà peuvent les voir ou sentir leur présence, sinon, ils peuvent sembler aussi inconsistant que des fantômes tant qu’ils n’attaquent pas. En position offensive, ils peuvent gravement affecter l’esprit de leur victime : dépression fulgurante, perte de confiance, accentuation des mauvais souvenirs. qualités •• Dynamique, pétillante, drôle, douce, attentionnée, protectrice (mais tout est à prendre avec réserve) défauts •• Très joueuse, absolument amorale, belliqueuse, fera toujours passer ses intérêts avant ceux des autres, véritable tyran sous des airs maternels parfaitement « adorables » habitudes •• Proserpine ne tient pas en place, elle est toujours à la recherche de nouvelles sensations amusantes et extrêmes. Un de ses jeux favori reste la recherche d’hommes dangereux et comment trouver un moyen de les séduire, d’être vénérée par eux, de leur prendre leur âme pour en faire son armée personnelle. N’est-ce pas assez fantastique pour distraire environ quatre millénaires et bien d’autres encore ? apparence •• De tous temps, la reine des Enfers a toujours privilégié un certain type de femmes, toujours très jeunes, avec une peau claire, des traits à la fois fins et arrondis, des nés plutôt busqués, de grands yeux bleus, des lèvres généreuses et des cheveux non pas vraiment blonds mais châtain clairs. Il lui est arrivé de changer bien sûr, mais elle est incarnée sous ce genre d’apparence en ce moment, avec un corps à son goût, c'est-à-dire aux formes voluptueuses, élancé, et même assez musclé. Elle a toujours été très sportive, même si l’époque moderne ne lui permet plus tellement d’aller en cheval ou de se battre en duel dans une rue ou sur un bateau. Avec des millénaires d’expériences, elle n’est cependant pas la dernière pour mettre une bonne rouste à un mec qui la cherche si elle est d’humeur à provoquer un petit scandale gratuitement. Bon, en fait elle est beaucoup plus ingérable et moins classe que son apparence le laisse croire, mais elle s’en fiche, elle est la reine des enfers.
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QUI ES-TU?
Je suppose que vous connaissez tous l’histoire de mes débuts dans le monde. Fille de Cérès, vierge et superbe, je fus un jour arrachée du Panthéon par mon oncle Pluton, gardée prisonnière en Enfers, et le chagrin de ma mère fut la cause de l’hiver. Le dernier point, est assez poétique, tout le monde le sait totalement faux puisque, aussi puissant que soient les dieux, il est géologiquement improbable qu’une le cycle des saisons ne soit pas totalement naturel. A l’époque, les peuples de l'actuelle Italie ont surtout été marqués par des tempêtes de neige particulièrement violentes et inhabituelles dans leurs régions. Beaucoup sont morts, j’en suis navrée, c’est un peu ma faute. Mais, depuis, le temps est passé, vous devez vous fiche autant que moi de la vie de paysans infiniment moins intelligents que les hommes modernes quelques 4 000 ans plus tôt. Ce qui me dérange le plus, c’est l’image qui reste de moi, celle d’une fille violée puis soumise à son époux. Je l’ai bien cherché, je l’avoue. J’étais jeune, je n’avais pas réfléchi aux conséquences durables de ma petite tromperie. J'ignorais aussi que mon histoire se confondrait avec celle de cette cruche de Perséphone.
Je n’avais que quatorze ans, et, pour ainsi dire, je venais de naître. Le Panthéon était encore peu peuplé, ma mère m’avait eu par ce qui semblait être, direz-vous aujourd’hui, l’opération du Saint Esprit. Aucun dieu, ni humain n’avait connu Cérès dans les mois qui ont précédé la gestation. Je vivais heureuse avec ma famille, même si je commençais à souffrir des avances de Jupiter qui me trouvait parfaitement à son goût. Ma mère faisait son possible pour me préserver, elle voulait m’éviter d’être le trophée de plus d’un de ses coureurs de frères, ou peut-être était-elle tout simplement jalouse ? Après tout, les choses ont commencé avec six dieux qui copulaient joyeusement ensemble, et Cérès a donné un fils ainsi qu'une fille à Neptune. Mon demi-frère est un cheval d’ailleurs, c’est vous dire les ravages de l’inceste.
Sur les trois frères, il en était pourtant un qui ne se faisait pas remarquer par ses amours. Pluton était le solitaire, le ténébreux qui n’aimait guère sortir souvent de ses Enfers. Il se distinguait moins par sa beauté à cause de son caractère renfermé, de la sévérité de son regard. On ne lui connaissait qu’une femme, une fille des terres sombres dont on le disait tendrement épris. Or, je suis vite tombée sous le charme du mystérieux Pluton. Je voyais toujours ses venues sur le Panthéon comme une fête et jouait de plus en plus, à mesure que je devenais femme, à lui lancer des œillades langoureuses, prendre dès qu’il regardait vers moi, des postures lascives et pleines de promesses. Pluton n’osa jamais m’approcher ouvertement. Son monde était trop ténébreux pour les joyeuses divinités du Panthéon, on disait que ses visites apportaient toujours tristesse et désolation, personne ne l’aimait beaucoup, surtout ma mère qui avait consacré son existence à la Vie. Mais, enfin, je voulais ce sombre seigneur, une attirance terrible me poussait vers lui, et, comme il se mit à multiplier ses retours en surface, j’en déduisis avec plaisir qu’il ne pouvait plus se passer de me dévorer du regard.
N’ayant jamais été un grand conquérant, Pluton n’était pas non plus un homme subtile. Alors oui, c’est vrai, rendu fou par mon petit manège, et constatant que je m’isolais souvent pour lui donner une ouverture, il me kidnappa sans me demander mon avis, comme un véritable psychopathe. Ce fut très drôle et excitant. De retour sous terre, il a affirmé que j’étais à lui et m’a prise avec une fureur qui a un peu fait trembler mes ardeurs de pucelle. Cependant, c’était un être charmant, je lui ai appris à m’aimer convenablement, et il était si passionnellement amoureux… Il m’a demandé en mariage sans y réfléchir un seul instant, ma mère a bien essayé de faire des démarches pour me reprendre et nous avons trouvé une ruse en prétendant que la consommation de fruits dans les Enfers me rendait définitivement liée à ce monde horrible. En fait, contrairement à ce dont est restée longtemps persuadée Cérès, les Enfers devinrent très vite plus attirants que le Panthéon pour moi. J’ai su, dès mes premiers pas là-bas, qu’il s’agissait de mon monde, que mon amour pour leur seigneur n’avait rien d’anodin. C’est Menthé, la première amante de Pluton qui m’aida à résoudre le mystère de mon père. Elle était la fille d’un fleuve de ces régions, et ma mère avait mangé des fruits apportés des Enfers, arrosés par le Styx, peu de temps avant sa fécondation. Le Styx m’avait donc rappelé à lui, et donné une partie de ses pouvoirs. D’ailleurs, puisqu’on parle de Menthé, il faut que je vous dise qu’elle a très mal pris de voir son amant la jeter pour épouser soudain une presque inconnue. Elle se voyait depuis des siècles reine des Enfers et voilà que je lui volais la place, qu’elle perdait, de plus, son titre d’amour unique et absolu du Seigneur. Elle s’est de suite montrée absolument détestable, a voulu tout faire pour empêcher notre union et faire à nouveau chaviré le cœur de MON fiancé. C’est elle, qui, la première, a réveillé mes plus mauvais côtés. Elle m’a fait entrer dans une fureur telle qu’un jour, après l’avoir jetée à terre à la suite d’une violente bagarre, mes pouvoirs se sont révélés, elle a commencé à brûler mais tenait bon. Je me suis acharnée sur son corps. Je l’ai piétinée avec autant de délicatesse qu’un sanglier, en m’appliquant en particulier à enfoncer mon talon sur son visage, jusqu’à l’enfoncer dans son crâne, c’était tellement jouissif. Qui n’a jamais rêvé d’infliger un tel traitement à une rivale de cœur. J’en ai fait de la bouillie, elle n’a pas survécu. Bye et à jamais, Menthé.
Un peu plus tard, Pluton décidément sensible aux femmes aquatiques, a voulu jouer le scénario de l’enlèvement avec Leucée, une nymphe. Je suis entrée dans une colère si profonde que, pour éviter de voir Leucée subir le même sort que son ex, mon époux a pris la décision de la transformer en arbre. Au moins, elle ne mourrait pas, et je n’avais plus de raison d’être jalouse d’une femme réduite à l’immobilité végétale. Joie, bonheur. Pluton n’a plus jamais osé me faire d’infidélités. Même si j’y ai un peu contribué, je pense que nous pouvons nous vanter d’être le couple le plus fidèle des divinités romaines. Nous n’avons pourtant pas eu d’enfants, je n’en ai jamais vu l’intérêt, et Pluton non plus. Pour les humains, notre histoire s’arrête à peu près ici. Mais les choses ont bien changé depuis ces premiers siècles heureux. Nous avons fini par nous ennuyer, les humains demi-dieux étaient de moins en moins nombreux à descendre jusqu’à nous puis, un certain Lucifer, venu d’on ne savait où, a pris possession d’une grande partie des Enfers. Pluton y a tout de suite vu un très mauvais augure. A l'origine, cette région des Enfers était possédée par un certain Hadès, et sa femme Perséphone, des divinités d'un autre monde étrangement similaire en bien des points que les nôtres. Aidé par ses frères et sœurs du Panthéon, il ne leur avait laissé qu'un terrain ridicule pour continuer à s'occuper de leur Grèce tout aussi ridicule. Car, enfin, il avait l'Empire Romain, et des adeptes de plus en plus nombreux pour asseoir notre puissance. Nous avons craint de tout perdre à notre tour, mais Lucifer s'est montré conciliant. Il nous a laissé notre domaine, c'est-à-dire toutes les terres traversées par le Styx, et cela ne nous a pas dérangé au début, mais un tas de créatures se sont jointes à lui, et se sont organisées pour partir sur Terre pour voler des âmes qui arrivaient tout naturellement chez nous. Pour Pluton, ce fut un véritable coup dur. Car, enfin, imaginez un Souverain sans sujets ! Il s’occupait en gérant les destines d’hommes, en décidant de les envoyer au Tartare ou aux champs Elysée, et soudain, voilà qu’on lui volait son people et qu’on imitait sans vergogne son système. On pense à tort que les âmes restent immortelles. En théorie, elles le sont, mais en vérité, la plupart se désagrègent, certaines plus rapidement que d’autres. Il est difficile de continuer à penser quand on a plus de corps ni de but, seuls les intellectuels y parviennent et arrivent parfois à s’accrocher de manière spectaculaire, mais la plupart des hommes sont simples, et ils disparaissent à jamais, sans s’en rendre compte. Notre domaine se vidait donc tristement.
Je ne voulais pas voir Pluton subir le même triste sort qu'Hadès, je refusais d'être une épouse aussi inutile que Perséphone. Pour survivre, il faut s'adapter. J’ai pris la décision de jouer moi aussi les démons sur Terre, afin d’attirer les hommes et les femmes dans MES enfers. Au début, je me suis contentée de guider les âmes des mourants, mais il nous est très vite apparu que cette manière sélective de faire peuplait davantage l’Elysée que le Tartare. La plupart des gens ne commettent pas de crimes. Le personnel du Tartare s’est plaint d’être toujours autant désœuvré et par conséquent, il ne restait qu’une chose à faire, pousser les hommes à commettre des crimes par leurs propres moyens. Alors, je suis pour ainsi dire devenue un succube et j’ai adoré ça. Depuis le Moyen-âge, je me glisse dans les vies d’hommes connus pour être sanguinaires, fous, mauvais, et je manœuvre pour les rendre entièrement dévoués à leur amour pour moi, je les incite sans le savoir à commettre des crimes en mon nom, puis à se sacrifier en mon nom. J’en fais mes esclaves, je leur offre dans l’autre monde un titre qu’aucune âme ne peut espérer, ils deviennent ma garde personnelle, pour un service d’un siècle au minimum, après quoi, leurs âmes sont souvent trop abîmées pour m’être utiles, mais j’en connais de très tenaces, qui sont bien conscient que, malgré leur asservissement, j’en ai fait des élus, qu’ils seraient au Tartare sans moi, ou déjà tombé dans le néant qui guette tous les esprits des êtres défunts. C’est horrible, je sais, mais ils sont bien obligés d’être reconnaissants. Outre mes goûts personnels je préfère aussi les hommes mauvais parce qu’ils sont justement plus résistants. J’ai déjà donné dans la séduction de garçons tout à fait adorable, sous les traits de prostituée qui leur offrait de se dépuceler et dont ils s’éprenaient avec une incroyable rapidité, et un excès de zèle tout à fait amusant. Ils sont faciles à manipuler, à tuer ou se donner la mort pour moi, mais cela crée de bien piètres soldats d’outre-tombe. Je vais rarement vers eux, même si leur innocence à croquer fait que j’ai souvent du mal à résister. Je pourrais les laisser mourir tranquillement vous me direz, mais j’aime rester efficace, si je passe du temps avec un homme, c’est pour en faire un criminel. Le turn-over des enfers ne me permet par d’être généreuse là-dessus. De toute façon, comme je vous l’ai dit, les âmes finissent par disparaître alors, sincèrement, quelle importance ? Ils oublieront ma trahison comme leur existence.
En deux mille ans, je me suis parfois laissée séduire, mais jamais très longtemps. Je reste un être pratique, je sais profiter des passions qui viennent à moi, et qui durent parfois plusieurs années. Il m'est arrivé de donner des enfants aux hommes pour les attacher plus certainement à moi mais je n'ai gardé aucun bâtard. Ils ont toujours rejoint leur père aux Enfers, puisqu'ils n'étaient que des outils, et un bonus d'âme. Mais, tout de même, rassurez-vous, je n'ai jamais été assez cruelle pour envoyer mes enfants au Tartare, quelle monstruosité ce serait ! Je me suis parfois attachée à mes petites pousses, assez pour leur permettre de connaître une enfance heureuse, et un premier amour. C'est triste de partir sans avoir connu l'amour. Mais ils n'avaient pas le droit d'exister, de comprendre leur statut de demi-dieu, ou de découvrir réellement leurs pouvoirs. Que de complications ce serait ! Et mon époux ne méritait pas cela. Je reste profondément liée à mon Pluton. Si je l’aime ? Je n’irai pas jusque-là. Il y a longtemps que je lui ai rendu sa liberté et que je ne m’amuse plus à piétiner les femmes qui essayent de la séduire, quoiqu’il me fasse assez peu d’infidélités, car il préfère gouverner qu’aller courir la femelle. C’est un homme très sérieux, Pluton. Le temps a fait tomber les plus vives ardeurs de nos sentiments, mais nous restons très complices, dirigeant à part égale le même domaine. Je n’imagine pas vivre sans lui, il est mon mari et aussi mon meilleur ami. Cependant, je garde un œil sur toutes les démones qui le courtisent. Et même si j’ai appris à devenir moins jalouse pour gagner le droit d’avoir d’autres amants, je ne supporterais pas que l’une d’entre elle devienne plus qu’un divertissement. Elle n’aurait pas intérêt d’essayer. Perséphone l'a fait en constatant que Hadès voulait d'une autre vie, et semblait décidé à l'abandonner pour de bon. Elle était depuis des millénaires jalouse de mon indépendance, piégée avec un homme qu'elle n'aime pas, et pourtant furieusement possessive. Elle pensait garder son honneur en restant une bonne épouse et en imposant une fidélité absolue à un époux détestée. Mais ce n'était qu'une déesse ridicule et perdue. J'ai su qu'elle me traitait de traînée dans mon dos, vantait sa plus grande maturité, affirmait qu'une alliance avec elle serait bien plus profitable. La sotte. Cela faisait longtemps que je mourrais d'envie de régler définitivement son compte à cette pâle imitation de moi-même. Quoique Pluton l'avait prise en pitié, je l'ai carbonisée. Il ne s'y est pas opposé. Dans notre couple, les choses sont plutôt claires là-dessus, si une relation extérieure pose un réel problème, la seule solution pour résoudre le conflit est de détruire la personne responsable de nos déchirements.
Et que suis-je aujourd'hui ? Ces derniers millénaires, on m'a très souvent vue en Italie, en Espagne ou en France. Je me suis aussi offert de longs séjours en Russie, en Angleterre et en Allemagne pendant cette petite parenthèse que fut la seconde guerre mondiale. Ah ! Cette période était terriblement excitante pour moissonner des âmes ! Je me suis amusée quelques temps aux Etats-Unis, avec les années de la prohibitions. Dès que les tensions propices à faire naître de grands criminels sont là, j'ai tendance à me trouver dans les parages. Or, depuis la grande catastrophe, New-York me semble l'endroit rêvé. Mes professions ont aussi beaucoup changées avec le temps. Jusqu'à la première guerre mondiale, j'alternais entre poule de criminel, actrice et courtisane - ce qui revenait souvent au même. Les femmes libres de l'ancien monde étaient les prostituées déguisées en dames distinguées. Pour les hommes piégés dans les conventions sociales, attaché à une femme qu'ils n'aimaient souvent pas, ou qui était bien trop prude au lit à cause de son éducation, nous avions un pouvoir immense, celui d'apporter le plaisir, de contrôle le sexe. C'était une époque naïve, cruelle pour la plupart des femmes, et très avantageuse pour les plus belles et roublardes. Aujourd'hui, vous vous en doutez je pense, le statut de catin ne fait plus rêver grand monde, et ne rime certainement pas avec "femme forte". Les hommes intelligents - et une âme intéressante l'est forcément - n'ont plus la même candeur, il faut pouvoir leur apporter de la nouveauté, donc être à leur hauteur. Je joue donc de mon statut social, j'essaye d'entrer dans leur vie par un autre biais, celui de la médecine. Quoi de plus valorisant qu'une femme médecin ? Jamais une rivale pour un homme d'affaire ou un politicien, toujours avantageuse à présenter. Et comme, je vous pries, trouver des victimes toutes faites, prêtes à être séduite, chez des patients qui s'en remettent à vous ? J'ai visé les meilleurs statuts de la profession, en devenant chirurgienne pendant une assez longue période mais, depuis New-York, je suis psychiatre, avec cabinet personnel et en relation étroite avec la police dans les affaires criminelles. En somme, je peux pousser les hommes qui ne sont pas passés à l'acte à le faire - pour moi, cela va de soi - si leur terrain est favorable, et m'offrir des entretiens savoureux avec des criminels qui comprennent très vite que je pourrais peut-être les aider à quitter les verrous plus rapidement qu'ils ne le pensent. Je sais cependant ne sélectionner que les meilleurs sujets pour ne pas risquer de passer pour une incompétente, je tiens à ma réputation sur la Terre comme aux Enfers !
•• hors jeu •• pseudo •• Unity comment avez-vous découvert le forum? •• Déjà présente ! qui est la personnalité sur l'avatar de votre personnage? •• Michelle Trachtenberg code du règlement? •• Je connais le règlement par coeur bien sûr code de la section des groupes et pouvoirs •• Je sais tout !
Dernière édition par Milena Nereth le Ven 27 Fév - 4:38, édité 12 fois |
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