| | Talfryn Caerwyn, suivez le gentil faune... | |
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Talfryn Caerwyn
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| Sujet: Talfryn Caerwyn, suivez le gentil faune... Jeu 8 Jan - 6:02 | |
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•• Talfryn Caerwyn •• •• Faune •• âge •• 42 ans (en paraît 21, et mentalement aussi d’ailleurs)pouvoirs •• Phéromones( Il est particulièrement difficile de résister à son pouvoir d’attraction sexuel. Plus que le désir, son contact peut réveiller un besoin urgent d’avoir un rapport avec lui, un état extatique intense, sauvage, furieux, qui trouble l’esprit comme une drogue., [/color] Compréhension animale(Facilité à interpréter les réactions des animaux et à leur faire comprendre ce qu’il attend d’eux), Autres particularités : Lorsqu’il n’est pas exposé au soleil, il peut dissimuler en partie son apparence et faire en sorte que les autres le perçoivent comme ils s’attendraient à le voir, c'est-à-dire sans cornes ni sabots. Son corps semi-bouc lui permet de faire de grands sauts en hauteur sans avoir besoin d’élan, il peut grimper sur une falaise escarpée ou même, sauter sur un balcon, une rambarde, en gardant un équilibre parfait. qualités •• Plutôt gentil, curieux, volontaire, plein d’humour et de joie de vivredéfauts •• Têtu, frondeur, un peu rustre voire sauvage, amoralhabitudes •• Jusqu’à présent, jouer dans la forêt, faire l’amour, espionner les humains, draguer, manger, dormir, lire des romans policiersapparence •• Talfryn est aussi roux que son père. Il possède un teint très pâle, légèrement olivâtre au soleil, mais des lèvres joliement pigmentées. Ses yeux, découpés en amande, sont d’un vert sombre qui se mouchette d’or selon la lumière. Son visage est fin, mais ses traits affirmés et sa carrure est celle d’un homme solidement bâti. Evidemment, son espèce lui a donné d’autres attributs moins humains, des cornes de jeune bouc, courbées mais pas encore assez longues pour être torsadées, des oreilles étirées, une deuxième articulation aux jambes et des sabots. Il a cependant décidé de s’épiler les poils cuivrés de ses jambes pour ne pas trop dégoûter ses possibles conquêtes.[/color] _________________________________________
HISTOIRE
Souvent, je me demande par quel événement commencer pour vous raconter ma vie. Le début, la naissance, les premières années de l’enfance et tout ça ? J’aimerais. Je pourrais vous raconter comment j’ai grandi dans ce qui vous rappellerait l’Arcadie des Anciens, entre un vieux château et une grande forêt, avec les parents les plus aimants du monde, tout un troupeau de frères et sœurs, des animaux, des amis. Vous sauriez tout de nos jeux, de nos petites rivalités, des grandes aventures que l’on se proposait de mener la journée, bref, je vous livrerais une sorte de paradis sur terre, un paradis qui aurait pu durer encore mille ans. Mais vous voyez – et excusez-moi au fait si ma prose n’est pas toujours terrible, je fais de mon mieux – mais vous voyez donc, c’est bien ça le problème. Je vivais dans un havre fermé, une sorte de prison idéale de laquelle il était impossible de s’échapper car, au-delà de la forêt, le reste du monde n’était pas fait pour moi. J’étais loin d’être malheureux et, en même quand, quand j’y réfléchissais, l’idée de continuer à mener une vie parfaite, idéale, pour le reste de ma longue existence m’assommait d’ennui. Le problème d’être un faune au Pays de Galles, c’est que le terrain d’action est limité, les possibilités de rencontres aussi et que mon peuple est d’un hédonisme profond. Je veux dire, ils suivent le rythme des animaux, des saisons, ne s’inquiètent pas du temps qui passe parce qu’ils ne réfléchissent pas au lendemain. Chaque lever de soleil est vécu comme une nouveauté incroyable, chaque jeu semble plus drôle que le précédent, même s’il s’agit exactement du même, et je suppose que beaucoup d’hommes accepteraient notre vie cyclique pour le plaisir de s’étendre tous les jours – et plusieurs fois, il faut bien s’occuper – aux côtés d’une nymphe. Le problème d’être un faune avec un père hybride, qui vous a élevé en partie dans un château, c’est qu’on peut en venir à attendre autre chose du monde. Tous mes frères et sœurs n’ont pas développé ce caractère, la plupart trouvaient les hommes trop effrayants pour vouloir s’en approcher, certains les étudiaient avec intérêt de loin, en concluant presque toujours sur la supériorité de notre peuple, et seule une de mes sœurs, Brynn, comprenait mon envie de découvrir d’autres expériences. On demandait souvent à notre père de nous emmener dans une ville, pas un petit village de cinquante habitants, une vraie ville, avec une activité de nuit comme de jour, des fêtes étudiantes, de grands cinémas et tous ces magasins de choses inutiles qui semblaient indispensables. En fait, même l’installation de l’électricité avec la possibilité d’avoir une télévision, internet, des jeux vidéos nous faisaient rêver. Je crois que j’ai été le plus heureux du monde le jour où j’ai réussi à me procurer en douce une vieille game boy à piles, même si Brynn me la volait souvent et partait jouer sur les plus hautes cimes des arbres. Quand elle me la rendait à plat, elle se lamentait du peu d’autonomie de la machine au lieu de s’excuser. C’était une peste Brynn. Elle aimait bien regarder les revues de mode en se moquant de la fadeur des humaines. Elle se trouvait trop belle pour rester cachée dans une forêt. C’est vrai d’ailleurs que même pour une dryade, elle était sacrément belle, et si ça n'avait pas été ma sœur, j’aurais voulu beaucoup d’enfants avec elle, c’est sûr mais enfin… Je m’éloigne. Brynn était une peste, mais je l’aimais bien quand même. C’était ma préférée. Et elle est morte.
Quand j’ai commencé à écrire, en fait, je voulais vous parler de ce moment précis, celui où le paradis s’est écroulé. Mais c’est dur, surtout pour un faune, parce que notre mémoire est grande, et que tout semble encore frais comme au lendemain du drame dans ma tête. Le vent a tout ravagé. J’ai vu mes frères se faire emporter, ma mère essayer de nous sauver et mourir d’un coup quand son arbre a été déraciné, le château s’écrouler sur un de mes frères aussi. Mais Brynn, j’ai fait tout pour la sauver, j’ai laissé un frère mourir pour elle, j’ai réussi à la mettre en sécurité, avec l’autre sœur encore en vie parce qu’on doit protéger nos femelles, elles sont plus rares, plus longues à naître, plus précieuses quoiqu’il arrive. Quand mon père nous a retrouvés, je me suis senti soulagé. Je serrais Brynn dans mes bras, je ne voulais plus penser à la tempête qui soufflait dehors, je voulais oublier que des arbres continuaient de tomber. Mais c’est arrivé. Soudain, son corps tendre comme la tige d’une fleur s’est asséché comme du vieux bois. Mon autre sœur l’a rejoint peu de temps après. Je suis resté seul, aussi effondré de chagrin que mon père. Quand tout s’est calmé, qu’on a pu constater l’étendue des dégâts, plus aucun arbre ne semblait tenir debout. La forêt de mon enfance était entièrement rasée.
Alors, en quelques sortes, j’ai obtenu ce que je voulais, je suis allé à Londres, mais dans une capitale tout aussi détruite et lourde de chagrin que notre foyer. Malgré tout ce que j’avais pu penser, mon seul désir était de trouver d’autres forêts encore debout, où d’autres représentants de mon peuple vivaient encore. Mais mon père avait d’autres idées en tête. Il est devenu bizarre, c’était comme s’il avait changé d’un coup ou, plutôt, comme si le désastre avait réveillé un autre lui en sommeil depuis longtemps. Il ne cessait de répéter que ce monde était mort et qu’il ferait en sorte que nous n’ayons plus besoin de nous cacher à nouveau. En fait, je crois qu’il ne s’imaginait tout simplement pas vivre réellement comme nous, dans une forêt. Il tenait surtout à son patrimoine, et il l’avait perdu. En tout cas, j’ai essayé de positiver, de me dire que j’avais peut-être une chance de mener une autre existence, moi qui avait hérité des gènes humains un certain besoin de diversité. Mais mon père me suppliait de ne pas me faire remarquer et je dois dire que je n’ai pas vu grand-chose d’autre que mon appartement pendant cette période. C’était atrocement déprimant. J’avais la télé, les jeux vidéos, internet, tous les romans que je voulais, et j’étais consigné à l’intérieur, sans réelle possibilité de rencontrer les personnes avec lesquelles je sympathisais par messagerie. J’avais un tas de petite copines virtuelles pourtant ! Des jeunes filles qui déprimaient à cause de la perte de leurs proches et n’attendaient rien d’autre qu’un mâle puissant pour les consoler. Mais il n’y avait rien à faire pour convaincre mon père d’en inviter au moins une à la maison. Il ne pensait pas qu’elle pourrait jamais accepter ce que j’étais, et, aussi, que j’étais incapable de répondre aux attentes d’une humaine, que ça risquait d’être « trop » pour elle. Là-dessus, je pouvais difficilement lui donner tort. Les filles qu’il avait mis dans la complicité pour me faire plaisir et payait généreusement pour qu’elles gardent le secret avaient toujours du dégoût, de la peur dans le regard la première fois qu’elles me voyaient. Et j’en ai cassée une un jour. C’est pas aussi solide qu’une nymphe, surtout au niveau de la nuque, qui se brise au lieu de se plier. Depuis, je fais plus attention, mais à ce moment, j’étais trop heureux de découvrir les humaines pour comprendre qu’elles étaient des créatures plus fragiles que celles que j’avais connues. J’ai fait quelques escapades secrètes aussi bien sûr. Mais elles m’ont déçues. J’ai vite senti que je ne maîtrisais pas leurs codes de civilisation et que j’avais trop à dissimuler pour pouvoir m’ouvrir vraiment. Il n’y avait que les gens tordus sur internet qui avaient le sentiment de me comprendre, et disaient posséder aussi un tas de bizarreries, mais les gens en vrai, j’avais l’impression qu’ils se sentaient obligés de rejeter tout ce qui ne correspondait pas à leur norme. Alors, quand mon père a finalement décidé de me libérer de la ville pour me trouver une autre communauté, j’étais heureux. En plus, j’avais finalement une mission, celle d’apporter un peu plus d’ambition, de civilisation et de culture chez les peuples des forêts. Mais ce n’était pas la même chose, un paysage différent, des pays de l’Europe de l’Est profonde dont je ne maîtrisais absolument pas la langue. Heureusement, les communautés de faunes et dryades ont un dialecte commun malgré quelques variantes qui ne sont pas très difficiles à assimiler. En tout cas, j’ai fait de mon mieux pour m’intégrer, en me heurtant à la ferme volonté des vieux pour conserver les traditions millénaires et ne surtout pas se mêler au fléau humain, et en séduisant un peu mieux les fraîches pousses avides d’aventures. Franchement, je suis plutôt fier du résultat en trois ans. Je ne dis pas que tout va radicalement changer, mais par rapport à leur ignorance totale des civilisations, de la notion d’idée personnelle, de famille, de propriété privée, j’ai fait de grands progrès, en suivant presque mot pour mot les directives de mon père (je ne peux pas dire que je sois réellement la tête pensante de la famille, les dieux n’ont pas épargné le bon fils là-dessus, ou la bonne fille, parce que Brynn aurait été deux fois plus redoutable, c’est sûr). J’y ai ajouté un peu de moi quand même, en leur apprenant à lire mes romans policiers préférés, pour leur faire comprendre des histoires qui ne pouvaient certainement pas arriver en forêt. Ça leur a paru horrible au début mais certains ont fini par se prendre au jeu de ce genre d’intrigues et à lire d’autres titres. Je ne suis pas sûr que mon père approuverait le fait de leur faire découvrir si tôt la notion de crime ou de malheur mais en même temps, c’est ce qui crée des histoires, et on manque cruellement d’histoires en forêt ! Je me suis aussi rapproché de quelques dryades, d’abord Ottilia, mais elle était un peu trop naïve. Je suis resté avec elle le temps d’être bien assuré qu’elle ait un enfant de moi, puis je l’ai laissée à d’autres faunes. Vous allez sans doute trouver ce comportement bizarre mais ça ne l’est pas. Notre peuple survit difficilement, et mon principal devoir en tant qu’étranger est aussi de leur apporter un peu de sang neuf. Donc, j’ai changé de partenaire, j’ai pris Caelina. Elle m’a vite rappelé Brynn. Elle comprenait rapidement les choses, et surtout l’intérêt qu’il y avait pour notre peuple de devenir plus ambitieux, de reconquérir le monde des humains. C’est devenu ma meilleure alliée, et je pense que les dieux n’auraient pas pu mieux approuver notre union qu’en lui donnant, comme ils l’ont fait, la chance de mettre au monde une femelle. Ottilia en était rouge de jalousie – même si je pense que notre petit mâle est aussi une merveille. Comme une dryade passe un an dans le ventre de sa mère puis une dizaine d’années entre les racines d’un arbre, je ne sais pas encore à quoi ressemble ma petite Brynn (je tenais à rendre hommage à ma sœur), j’espère qu’aucune catastrophe n’abattra jamais son arbre-cœur. Malgré ce très heureux événement, je n’arrivais pas à me sentir à ma place dans la communauté d’Europe de l’Est. L’ennui est vite revenu, et je n’avais même pas un pan de civilisation, comme un château, dans lequel me réfugier. Caelina était une bonne partenaire mais je n’éprouvais rien de ce sentiment qui vous rend la séparation d’avec votre moitié absolument insupportable. Je savais combien mon père était en adoration devant ma mère, et Caelina restait, finalement, une bonne amie. Une amie qui saurait guider intelligemment son clan après mon départ. De toute manière, je ne suis qu’un mâle, et la parole d’une dryade comptera beaucoup plus que la mienne. J’ai essayé d’expliquer tout cela à mon père, mon malaise, le fait que j’avais déjà fait une grande partie du travail, que je savais Caelina capable d’utiliser aussi la technologie des humains et de s’infiltrer chez eux pour lui faire passer à son tour des rapports. D’ailleurs, je lui ai dit tellement de bien de lui que je suis à peu prêt sûr qu’elle s’est mise en tête qu’il pourrait être un partenaire parfait pour elle. Je ne lui en veux pas si mon père lui semble plus intéressant que moi, je l’ai rendue ambitieuse, et je ne le suis pas assez pour rester un bon partenaire. Dans tous les cas, on m’a donné une seconde chance, j’ai obtenu un pass pour New-York et j’ai vraiment hâte de voir si on y mène vraiment le genre de vie marrante qu’on peut voir dans les séries ! Ces années en forêt ont un peu effacé mes mauvaises expériences à Londres. Je suis sûr que je peux mieux faire. En tout cas, je l’ai promis, et j’ai vraiment pas envie de retourner me terrer en forêt sur un deuxième échec.
•• hors jeu ••
pseudo •• Unity comment avez-vous découvert le forum? •• J'y suis déjà ! qui est la personnalité sur l'avatar de votre personnage? •• Cameron Monaghan code du règlement •• Validé par Cami code de la section des groupes et pouvoirs •• Validé par Cami
Dernière édition par Talfryn Caerwyn le Jeu 8 Jan - 18:18, édité 2 fois |
| | | Everybody's Fool Cameron Evans
Messages : 1263 Emploi/loisirs : Assistant de Mme Holmes
| Sujet: Re: Talfryn Caerwyn, suivez le gentil faune... Jeu 8 Jan - 11:45 | |
| Je te valide dans toute ta rousseur!!! Donc, tu cliques ici pour te demander: un rangun lieu où habiterun emploiPour créer ta fiche de liens, c’est ICIPuis, pour ta fiche de sujets ICI |
| | | Nichole Harvelle
Messages : 356 Emploi/loisirs : Médecin-résidente, activiste, pianiste
| Sujet: Re: Talfryn Caerwyn, suivez le gentil faune... Jeu 8 Jan - 11:48 | |
| Bienvenue futur beau-fils |
| | | Blue_Krait Drake Varner
Messages : 697 Emploi/loisirs : Informaticien, espion à son compte, grand enfant
| Sujet: Re: Talfryn Caerwyn, suivez le gentil faune... Jeu 8 Jan - 11:52 | |
| Un copain qui aime draguer les jolies filles! Je sens qu'on va bien s'entendre! |
| | | Atara Lackey
Messages : 361 Emploi/loisirs : Directrice du Velvet Dream
| Sujet: Re: Talfryn Caerwyn, suivez le gentil faune... Jeu 8 Jan - 11:56 | |
| Perdre sa soeur adorée...ton histoire est horriblement triste... |
| | | Millicent N. Anderson
Messages : 164 Emploi/loisirs : Drama queen, animatrice de talk-show
| Sujet: Re: Talfryn Caerwyn, suivez le gentil faune... Jeu 8 Jan - 11:59 | |
| Oh mais quel adorable jeune homme! Bienvenue chez les fous! |
| | | Matt T. Fowl
Messages : 380 Emploi/loisirs : Rédacteur en chef de la revue people publiée par le Times
| | | | Miss Univers Gabrielle V. Englebert
Messages : 1171 Emploi/loisirs : PDG, actionnaire majoritaire et fondatrice de Venus Industries Inc.
| Sujet: Re: Talfryn Caerwyn, suivez le gentil faune... Jeu 8 Jan - 12:05 | |
| *trouve Matt beau* Bienvenue!!! |
| | | Merwyn Caerwyn
Messages : 147
| Sujet: Re: Talfryn Caerwyn, suivez le gentil faune... Jeu 8 Jan - 13:00 | |
| Bienvenue sur le sol américain mon fils... N'oublie pas que tu as le droit d'approcher tout le monde SAUF Nichole. *Sent les ennuis arriver* |
| | | Christian C. Reaver
Messages : 476 Emploi/loisirs : À la tête d'une grande agence de rencontres
| Sujet: Re: Talfryn Caerwyn, suivez le gentil faune... Jeu 8 Jan - 13:22 | |
| Sauf Nichole...ET PEACH REAVER, ne l'oublions pas. Bienvenue. |
| | | Talfryn Caerwyn
Messages : 90
| Sujet: Re: Talfryn Caerwyn, suivez le gentil faune... Jeu 8 Jan - 13:31 | |
| *Ne sait pas qui est Peach mais acquiesce sagement, comme pour Nichole à laquelle il fait un petit signe enthousiaste* Hello Belle-Maman ! *Regarde toutes les autres jolies filles qui l'ont si gentiment accueillit * Les New-Yorkaises ont l'air magnifiques, de vraies nymphes du bitume ! Et je t'accepte en compagnon d'aventures Drake ! |
| | | La reine sans couronne Elisa H. Gibson
Messages : 401 Emploi/loisirs : Ministre
| Sujet: Re: Talfryn Caerwyn, suivez le gentil faune... Jeu 8 Jan - 13:46 | |
| Bienvenue à ce nouveau M. Caerwyn. J'espère que vous êtes aussi agréable que votre père. |
| | | Melany R. Crowley
Messages : 46
| Sujet: Re: Talfryn Caerwyn, suivez le gentil faune... Ven 9 Jan - 0:28 | |
| Bienvenue à toi! J'espère que tu te plairas ici! |
| | | Christian C. Reaver
Messages : 476 Emploi/loisirs : À la tête d'une grande agence de rencontres
| Sujet: Re: Talfryn Caerwyn, suivez le gentil faune... Ven 9 Jan - 10:32 | |
| - Talfryn Caerwyn a écrit:
- *Ne sait pas qui est Peach mais acquiesce sagement...*
Peach Reaver. Christian Reaver. C'est mon épouse. *A assez de Raphael Stark à surveiller et préfère avertir les autres nouveaux dès le départ* |
| | | Serpentard bien élevé Jim V. Crowley
Messages : 296 Emploi/loisirs : Étudiant à l'Université de New York, stagiaire chez Crowley Industries
| Sujet: Re: Talfryn Caerwyn, suivez le gentil faune... Jeu 15 Jan - 16:40 | |
| Encore une créature peu civilisée... Bienvenue, M. Caerwyn. |
| | | Talfryn Caerwyn
Messages : 90
| Sujet: Re: Talfryn Caerwyn, suivez le gentil faune... Jeu 15 Jan - 18:06 | |
| *Fait la révérence à Elisa parce qu'on lui a dit qu'elle était importante* Que le fouet s'abatte sur moi si je vous suis désagréable madame ! Merci Melany, je me plais déjà rien qu'en te regardant *Se dit par contre qu'entre cet homme marié et cet autre garçon qui le regarde d'un air suspicieux, les mâles n'ont pas toujours l'air très drôles par ici* '-' |
| | | Little Red Riding Wolf Miko Snøhvit
Messages : 87 Emploi/loisirs : Étudiante, réceptionniste et fêtarde
| Sujet: Re: Talfryn Caerwyn, suivez le gentil faune... Dim 8 Fév - 20:56 | |
| Bienvenue à toi! |
| | | Celui qui sait tout Ethan T. Wilson
Messages : 78 Emploi/loisirs : Apprendre, écrire, faire chier...
| Sujet: Re: Talfryn Caerwyn, suivez le gentil faune... Lun 23 Mar - 23:32 | |
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| Sujet: Re: Talfryn Caerwyn, suivez le gentil faune... | |
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| | | | Talfryn Caerwyn, suivez le gentil faune... | |
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