Peach P. Samberg
Messages : 41 Emploi/loisirs : Directrice et représentante de l'agence Samberg, membre d'une importante association culturelle de N
| Sujet: La plus belle Ven 6 Juil - 12:32 | |
| PEACH PSYCHÉ REAVER • ESPÈCE : Déesse de l'âme • ÂGE : Des siècles. Je fais semblant d'avoir 29 ans. • POUVOIRS : Absorption d'âme (absorber temporairement les particularités de l'autre [talents magiques ou non], ce qui les diminue chez l'autre), décharge psychique (rayon d'énergie magique d'intensité ajustable) • STATUT MARITAL : Mariée à Cupidon depuis presque toujours • OCCUPATION : Directrice et représentante de l'agence Reaver, membre d'une importante association culturelle de New York • QUALITÉS : Charmeuse, originale, charismatique, rusée • DÉFAUTS : Manipulatrice, excentrique, manque d'empathie, moqueuse • HABITUDES : Se décoiffer ou tresser ses cheveux en réfléchissant, oublier des choses, boire trop de café, boire trop, garder les gens à distance sans le leur laisser savoir, parler très peu ou beaucoup d'un coup, utiliser des post-its, parler vite • APPARENCE : Très grande, toujours habillée de manière qui sort un peu de la norme, a de longs cheveux blonds vagués et épais HISTOIRE ET CARACTÈRE Je prends une troisième cigarette dans le paquet de Thot. Je fume toujours en secret. Enfin, Thot est évidemment au courant, mais le reste de mon entourage ignore les quelques cigarettes que j'allume de temps à autre, quand je suis certaine de ne pas être prise. J'apprécie la fumée qu'elles dégagent. Elle me rappelle les animaux qu'on faisait autrefois brûler sous ma fenêtre après les avoir sacrifiés. Aujourd'hui, les sacrifices ne sont plus à la mode, mais les festins font partie de presque tous les grands événements.
- C'est ce journaliste qui faisait exprès de tout transformer en occasions de m'attaquer. Je n'ai plus eu le choix et je l'ai cassé.
J'écoute au moins dix mots de la réplique du dieu égyptien avant de me laisser distraire par une pile de feuilles sur le comptoir de sa cuisine. Je me lève alors qu'il étale les subtilités d'une réponse potentielle qu'il trouve plus délicate que ce que j'ai servi au journaliste insultant.
-Oui, ç'aurait été plus habile de l'achever d'un seul vif commentaire, dis-je en posant la main sur les feuilles imprimées, mais beaucoup moins amusant que le tourner en ridicule en le faisant se contredire lui-même. Dans les deux cas, on souligne qu'il est débile, mais ma technique est beaucoup plus drôle, non?
J'ai connu Thot il y a trois ans dans le cadre de nos deux carrières. Il voulait inclure une agence de rencontres dans son prochain livre et y avait vu l'occasion d'un coup de marketing en s'associant avec mon entreprise. Je m'étais vite approprié le dossier: pas question que je laisse la collaboration avec un dieu égyptien majeur à un employé. Je m'occupe généralement de la gestion de la publicité, des relations de presse, des relations avec des partenaires financiers… enfin, de tout ce qui pique mon intérêt. Je laisse à Cupidon ainsi qu'à nos employés les tâches ennuyantes ou peu importantes à mes yeux.
-Tu as fini de l'écrire? dis-je en agitant les feuilles. Tu as mis le passage pour te moquer de Drake finalement?
-Je ne pouvais pas faire autrement!
Tout comme moi, Thot s'est lié d'amitié avec quelques humains. Drake Varner et lui jonglent moqueries et preuves d'affections depuis déjà quelques années. J'ai plus d'amis chez les humains et les créatures que chez les dieux. Ils sont plus simples à gérer et ma réputation de déesse inutile ne m'attire pas l'admiration des autres divinités. Et j'ai été humaine avant d'être une divinité. J'ai aussi cherché à connaître la Psyché de la mythologie grecque. Je me suis dit que nos vies en parallèle faisaient un bon point de départ pour se comprendre. J'ai été déçue d'apprendre que ni elle ni Éros ne semblent avoir passé la brèche.
Ma toute première amie était une sorcière. Danyrrha était née avec des prédispositions pour la magie et ses parents lui apprenaient à développer ses pouvoirs. J'étais fascinée. Comme je ne m'entendais que moyennement avec mes sœurs, nous faisions tout ensemble. Y compris dire du mal de mes soeurs. Je trouvais les idées et mon amie utilisait sa magie pour que nous puissions les mettre en œuvre.
À mon douzième anniversaire, Danyrrha m'offrit un sort qu'elle avait créé. C'était mal et il m'aurait fallu me contenter de prier nos dieux, mais j'acceptai son cadeau avec enthousiasme. Mon futur mariage proche et effrayée par cette nouvelle vie sur laquelle je n'aurais aucun contrôle, j'avais envie d'une promesse de possibilités excitantes. Mon amie accomplit un rituel qui devait ouvrir la magie en moi. Sur le coup, nous crûmes que les étincelles et la fumée pailletée d'or n'avaient eu aucun effet. Danyrrha me disait régulièrement que j'étais la plus belle fille qu'elle connaissait, donc je balayai ce que je pensais être un compliment quand elle me souligna que ma beauté semblait avoir augmenté.
L'attention qu'on m'accorda à partir de ce jour transforma ma petite existence. Être adorée me permettait d'accéder à une puissance de laquelle je n'avais jamais eu le droit de rêver. J'annulai mon mariage. Mon père restait le chef de la famille, mais il ne pouvait prendre aucune décision à mon sujet sans risquer de subir la désapprobation populaire. Lui aussi devait me traiter en déesse.
J'évitai de répondre honnêtement aux nombreuses questions de mes sœurs. Après toutes les robes tachées, les bijoux empruntés qui ne revenaient jamais, les amis qui bizarrement ne me parlaient plus, les blâmes de nos parents pour des bévues que je n'avais pas commises et les remarques dégradantes à mon sujet, je n'avais plus la naïveté de partager mon secret avec elles. Mais la rumeur que Danyrrha connaissait la magie avait caressé l'oreille de chacun. Je ne sus pas laquelle des deux lui avait fracassé le crâne avec une pierre, mais je les tins également responsables dès qu'on m'annonça que mon amie ne viendrait pas me visiter, ce soir-là. Mes parents se hâtèrent d'envoyer mes sœurs dans une ville lointaine où elles trouvèrent chacune un mari. Je noyai mon malheur à ma fenêtre, m'enivrant des effluves des sacrifices qu'on me faisait, dévorant les offrandes, imaginant des plans de vengeance et buvant en criant des injures à mes fidèles. Les foules ne cessèrent pas de venir. Il paraît que je suis belle même quand je suis fâchée.
Délaissant le manuscrit de Thot, je sors deux coupes pour nous verser du vin.
-Faut fêter la tête qu'il va faire en lisant le passage!
-Tu es au courant qu'on a déjà des coupes? demande Thot en désignant d'un regard de biais les deux coupes sur la table près de lui.
-Mouais, ta gueule. C'est ton monologue continuel qui m'a étourdie.
Le temps passait et on ne me trouvait pas de mari: aucun homme n'était à la hauteur d'une nouvelle déesse. Je m'habituai à tenir tête à mon père. Il ne s'y fit pas et alla consulter un oracle. Ensemble, ils rusèrent et firent connaître à tout le monde le destin qui devait m'attendre avant de me l'imposer. On ne viendrait plus m'adorer si je n'honorais pas ma supposée destinée. Je laissai mes parents faire leur spectacle et pleurer en m'amenant à ce qui devait être ma mort - j'avais prévu quitter cette stupide colline et me rendre dans une autre ville avec une explication fascinante pour gagner l'adoration.
Alors que j'attendais que les témoins se soient suffisamment éloignés, une terrible bourrasque m'emporta dans un château. Il y a pire, comme lieu d'atterrissage. Le soir, un homme mystérieux me rencontra dans l'obscurité et me fit part de ses sentiments. Croyant à un riche fidèle, je fus respectueuse mais distante. Cela ne l'empêcha pas de me violer. Il revint tous les soirs. Comblée de cadeaux, en sécurité dans une demeure magnifique, je me répétais que coucher avec un homme pour obtenir une bonne qualité de vie était ce que toute femme moderne faisait. Au moins, celui-là était riche et me répétait qu'il m'aimait. Je me retrouvais en situation enviable, et la fuite ne me garantissait pas un meilleur destin.
Le Zéphyr - c'est le nom du vent qui a pour passion de transporter des filles qui n'ont rien demandé - déposa mes sœurs chez moi quelques semaines plus tard. Comme à leur habitude, elles irradiaient l'envie et se plaignaient inlassablement. Elles ne m'avaient pas manqué, mais c'était l'occasion de les empoisonner psychologiquement, comme elles le méritaient après ce qu'elles avaient fait à Danyrrha. Je semai des insultes sur tous les aspects de leur vie et me fis silencieuse lorsqu'elles espéraient mon soutien. Je les laissai revenir avec l'espoir qu'elles adoptent un meilleur comportement ou que l'une trahisse l'autre au sujet du meurtre de mon amie, et parce que la solitude m'ennuyait. Lors de leur troisième visite, elles mirent en doute l'humanité de mon amant. Je les mis à la porte avec rage. Elles voulaient évidemment nuire à mon bonheur, comme lorsque nous étions petites, mais elles n'avaient pas complètement tort: je ne connaissais rien de lui. La curiosité me dévora de longues nuits. Avais-je vraiment besoin de voir le visage de celui qui partageait mon lit? Sentir son corps musclé et bien humain ne me suffisait-il pas?
Absorbée par l'observation du visage de Cupidon, me demandant si le sort de Danyrrha était responsable de la présence d'un dieu dans mon lit, je ne remarquai pas la goutte qui glissait le long de la lampe. J'étais sur le point de l'éteindre, satisfaite, quand mon bel endormi se réveilla en sursaut. J'essayai de le retenir, mais il fit tout un drame et s'envola de manière théâtrale en m'abandonnant au château. J'y restai plusieurs jours avant de me résigner: il ne reviendrait pas. Il ne me restait plus rien. Un château sans son maître ne me tiendrait pas en vie.
Mes sœurs étaient coupables de mon malheur. Sans leur intervention, j'aurais probablement été plus prudente pour découvrir l'identité de mon mari. Elles gâchaient toujours tout. Elles ne m'avaient toujours que nui. Et elles avaient tué la seule personne qui m'avait bien traitée. Je me rendis chez la plus âgée des deux, la trouvant auprès de son mari qui me fit la cour avant que je me présente. Entraînant ma soeur à l'écart, je tombai dans ses bras en pleurant, lui racontant la déception de mon amant devant ma trahison, exagérant les détails pour qu'elle se délecte. Son visage affecté ne parvenait pas à cacher sa sa profonde satisfaction, et son expression se transforma en une exaltation honnête quand je lui dis que Cupidon m'avait avoué la préférer à moi et qu'il gardait le Zéphyr prêt à la cueillir pour l'amener à lui. Avant de sauter dans le vide, elle eut un rictus en soulignant que ma douceur et mon innocence n'avaient pas réussi à me faire garder un bon mari. Je restai longuement perchée au bord de la falaise à regarder son corps désarticulé et son sang coulant le long des rochers.
Mon autre sœur se montra plus prudente. Elle hésita à voler vers Cupidon, et je lui assurai que le Zéphyr ne m'avait jamais abandonnée quand j'étais l'élue du dieu de l'amour. Soulagée, elle s'avança vers la falaise. Les yeux mouillés, elle me souhaita tout le bonheur du monde, avec un bon mari, me disant que je le méritais après toutes ces épreuves. Quoi? J'avançai lamentablement une main vers elle pour la retenir. Je ne voulais plus qu'elle saute. «Et désolée pour Danyrrha. C'était un accident.» Je suspendis mon geste. Les événements ne s'enchaînaient pas comme je l'avais imaginé. «Attends...» Je ne m'éternisai pas à observer son cadavre. Ma vengeance était beaucoup moins satisfaisante que prévu.
Je réalise au milieu d'une phrase que j'ai oublié d'allumer la cigarette volée à Thot et m'interromps pour le faire, puis j'enchaîne sur un autre sujet. La présence du dieu égyptien dans ma vie me fait du bien. Beaucoup le disent égocentrique, mais je le trouve plus intéressant et ouvert que les dieux romains et grecs. Je devrais peut-être changer de panthéon. Mon départ ferait probablement bien plaisir à mon mari. Il n'aurait plus à faire semblant de m'aimer.
J'ai découvert quelques mois après notre arrivée à New York que Cupidon me manipulait magiquement et me détestait. Mon mari est si peu perfectionniste qu'il a laissé derrière lui plein de preuves. Quand j'ai compris ses manigances, j'ai commencé par rager et aller bouder en inventant une convention à l'autre bout de la ville. Il me fallait réfléchir à distance et éviter une réaction impulsive. Dès mon retour, j'ai essayé de le séduire de nouveau, de différentes manières. Je me suis rendue à l'évidence: mes tentatives le dégoûtaient. Je me suis donc munie d'une protection et je lui obéis à contre-coeur quand il me donne des ordres en utilisant son pouvoir. Je me tiens à distance, m'occupant à autre chose. De toute manière, ce n'est pas vraiment difficile de trouver plus divertissant que l'écouter se plaindre de tout. Je me suis entourée d'amis et je m'absente beaucoup. Je déteste être seule avec Cupidon et je l'évite à la maison. Mais je ne veux pas rompre notre mariage. Après tout, ce n'est peut-être que temporaire. Plusieurs siècles qui s'accumulent effritent l'amour. Je peux très bien lui donner quelques années et m'occuper sans lui. Mais plus que tout, l'idée d'avoir perdu toutes ces années à ses côtés pour repartir à zéro me répugne. Nous avons passé tellement de temps ensemble que j'ai du mal à savoir ce que je ferais toute seule.
Après avoir tué mes soeurs, je me rendis de temple en temple pour prier mon amant, puis d'autres divinités en implorant leur aide. Cupidon continua de bouder et tout le panthéon romain resta du côté de Vénus. Mes solutions s'épuisaient. Je ne pouvais retourner chez mes parents qui allaient me renvoyer à la mort, ou me choisir un mari médiocre. Trouver moi-même un mari mortel en sachant que Cupidon avait un faible pour moi me promettait une vie de regret. Je ne me voyais ni en mendiante ni en prostituée. J'avais aussi compris qu'on ne voulait pas de moi comme prêtresse après mes affronts à Vénus, par ma beauté et l'acception qu'on me vénère, et à son fils. Il me fallait miser sur l'affection que Cupidon avait pour moi et le convaincre de me reprendre auprès de lui. J'aurais ainsi un dieu pour me protéger, et un époux digne de ma beauté surnaturelle.
J'ai mis de côté l'apparence divine en passant la brèche, puisqu'il fallait se fondre parmi les humains. Je suis simplement plus belle que la moyenne, comme avant le sort de Danyrrha. Son cadeau m'a tout de même permis de devenir une déesse. Après avoir réussi les épreuves imposées par Vénus, j'ai suggéré à Cupidon de m'épouser et de demander à ce que j'obtienne le statut de déesse. Enfin, je ne lui ai pas demandé directement de le faire. Il se vexe facilement quand il ne pense pas que les idées viennent de lui. En fait, il se vexe facilement tout court. Je suis donc devenue la déesse de l'âme, un titre qui ne veut rien dire, mais qui sonne bien. L'immortalité et la puissance m'ont davantage comblée. J'ai mis du temps à éprouver de l'affection pour Cupidon, mais son amour pour moi était assez touchant pour que j'ignore les tentatives de charme de Jupiter.
Je me lève pour nous servir à boire, dans les coupes que nous avons déjà, cette fois-ci.
-Oh, je t'ai pas dit. J'ai préparé une nouvelle boîte de candidatures pour t'inspirer. Certaines m'ont fait m'exclamer toute seule tellement elles sont irréelles. On ne se demande pas pourquoi ces gens sont célibataires... Sans l'agence pour leur présenter des tarés à leur niveau, ils ne trouveraient jamais quelqu'un.
DEVANT L'ECRAN • PSEUDO: Cami • CODE DU RÈGLEMENT: Validé par Cami • CODE GROUPES ET POUVOIRS: Validé par Cami • AVATAR DU PERSO: Blake Lively
FICHE PAR FALLEN SWALLOW
Dernière édition par Peach P. Reaver le Mer 28 Nov - 16:33, édité 1 fois |
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Christian C. Reaver
Messages : 476 Emploi/loisirs : À la tête d'une grande agence de rencontres
| Sujet: Re: La plus belle Lun 27 Aoû - 13:58 | |
| Psyché! C'est super de te voir ici... |
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Peach P. Samberg
Messages : 41 Emploi/loisirs : Directrice et représentante de l'agence Samberg, membre d'une importante association culturelle de N
| Sujet: Re: La plus belle Mer 28 Nov - 16:36 | |
| Ton amour m'a fait apparaître, Cupidon! Validez-moi! |
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Everybody's Fool Cameron Evans
Messages : 1263 Emploi/loisirs : Assistant de Mme Holmes
| Sujet: Re: La plus belle Mer 28 Nov - 16:57 | |
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J'aime le bruit des os qui se brisent Brook A. Hendrix
Messages : 86 Emploi/loisirs : Je possède et dirige la salle de gym Warrior
| Sujet: Re: La plus belle Lun 3 Déc - 11:24 | |
| Mars, tu m'expliques comment ton demeuré de fils a attiré une fille si canon? |
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Lance M. Larian
Messages : 104
| Sujet: Re: La plus belle Mer 12 Déc - 17:58 | |
| Si tu avais prié le dieu Mars pour survivre, tu n'en serais pas là tu sais. Mais ton mari a de très bons gènes et on dit que le génie a tendance à sauter une génération. Faites moi grand-père ! |
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Milena P. Nereth
Messages : 104 Emploi/loisirs : Psychiatre criminologue / Cueillir des âmes
| Sujet: Re: La plus belle Mer 12 Déc - 18:06 | |
| Bienvenue. Dire que j'ai presque failli être jalouse de toi à une époque. Je dis bien presque. *A voix basse* Au bout d'une semaine, j'ai constaté que ne plus avoir l'attention de Cupidon était un réel soulagement. Alors, je te dis merci. Scoop : Et s'il y avait un réel coupable derrière cette histoire ? |
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Peach P. Samberg
Messages : 41 Emploi/loisirs : Directrice et représentante de l'agence Samberg, membre d'une importante association culturelle de N
| Sujet: Re: La plus belle Mer 12 Déc - 18:13 | |
| Mars, tu aurais accepté de déplaire à Vénus? Parce qu'à mon souvenir, tous les dieux étaient de son côté à l'époque. Le génie, oui... Je vais y penser. Proserpine, ta presque jalousie me flatte, mais je ne veux pas de compétition avec d'autres femmes! Parce qu'elles sont tristes quand elles perdent.Pour ce qui est du soulagement de ne plus avoir l'attention de Cupidon, j'aimerais te contredire... Ton mari semble romantique. Tu es bien chanceuse. |
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Christian C. Reaver
Messages : 476 Emploi/loisirs : À la tête d'une grande agence de rencontres
| Sujet: Re: La plus belle Mer 12 Déc - 18:19 | |
| Ça fait chaud au coeur de sentir autant d'amour pour moi ici! |
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Lance M. Larian
Messages : 104
| Sujet: Re: La plus belle Mer 12 Déc - 18:19 | |
| Tout dépend. C'était avant ou après qu'elle me renie ? |
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Peach P. Samberg
Messages : 41 Emploi/loisirs : Directrice et représentante de l'agence Samberg, membre d'une importante association culturelle de N
| Sujet: Re: La plus belle Mer 12 Déc - 18:28 | |
| Mais non, Cupidon, on te taquine par affection! Et Mars, si elle avait accouché de ton fils en le faisant passer pour celui de Vulcain, j'imagine que vous n'étiez plus ensemble, mais je ne sais pas tous les détails de votre relation si intéressante. D'ailleurs, Proserpine... Ça ennuie ton mari que malgré son amour magique pour moi, Cupidon ne t'ait jamais complètement lâchée? Parce que ça me fait un peu chier quand même. |
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Blue_Krait Drake Varner
Messages : 697 Emploi/loisirs : Informaticien, espion à son compte, grand enfant
| Sujet: Re: La plus belle Mer 19 Déc - 10:57 | |
| Bienvenue, très jolie dame! *Trouves inspirante l'idée de se faire transformer en divinité.* |
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Fire and Gold Alec V. Fleming
Messages : 274 Emploi/loisirs : Dirigeant de Volcano Designs
| Sujet: Re: La plus belle Mer 19 Déc - 11:11 | |
| *Se demande si son fils recopie le modèle familial de couple dysfonctionnel.* |
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